Pensées en toutes lettres, nouvelle d’Anne Brunswic dans le recueil Le Facteur.Avec Maxime Goulvenn, Bruno Roza, Joseph Incardona, Franck Lebrech,
Jean-Philippe Blondel, Fred Paronuzzi, Éric Dardill,
Editions Delphine Montalant, ISBN 2-9517997-5-6

Format 15 x 21 cm, 72 pages.
Prix public : 12 €
Parution : novembre 2002

"À qui appartient une lettre ? À son expéditeur ou au destinataire - ou alors au facteur, du moins pendant son parcours ?" Antonio Gala, El dueño de la herida,
Le facteur, de factum, est au sens premier "celui qui fait".
Il est lié à l’attente, mais aussi à l’imprévu. Des huit écrivains qui ont accepté de l’évoquer,lui ou la factrice, aucun n’a posé à l’auteur.Pour Maxime Goulvenn, c’est une histoire d’île."La tournée" de Bruno Roza plonge dans le passé de la "Teutonne". Une lettre sépare, pour Joseph Incardona, le facteur de l’acteur. Franck Lebrech imagine que pour rencontrer le préposé, il suffit, si l’on est une femme, de s’envoyer un recommandé.Les calendriers sont une épreuve amoureuse chez Jean-Philippe Blondel. L’employé de Fred Paronuzzi est plus maladroit que Jacques Tati, tandis qu’il y a mort d’homme dansEric Dardill. Anne Brunswic, enfin, note dans une sortede dictionnaire des idées reçues : "Lettres anonymes : celles-là sont toujours timbrées".
On offre d’abord ce livre à SON facteur.